Internat Himitsu
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 Raise your Glass • Alice!

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Rin Adams

Rin Adams


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MessageSujet: Raise your Glass • Alice!   Raise your Glass • Alice! Icon_minitimeDim 25 Mar - 13:05




« Rin Adams feat Alice S. Rosengard.»




Baby come on

Driiing. Driing. Quelle douce mélodie au réveil qui résonne au fond des oreilles encore endormies, faut-il l'avouer. Le jeune homme encore allonger sur son lit dans une position anomarle, broncha en appuia sur son réveil qui se trouvait sur sa table de nuit. Hélàs pour le rouquin, ce n'était pas son réveil matin qui vennait de sonner, mais la sonnerie des cours qui annonçait le début de ceux-ci. Il haussa un sourcil, et jetta lentement un coup d'oeil à la pendule accrocher au mur. Penchant la tête sur le côté, il réflechisa au cours qu'il avait maintenant. Musique non, histoire non.. Physique, en première heure. Il soupira lentement, et reposa sa tête contre son coussin moelleux. Quoi, Rin Adams venir à l'heure à son cours de physique-chimie ? Vous croyez encore au père Noël, ou alors vous ne vivez pas dans le même monde que le notre. Ou plutôt pas dans le siens. Il referma lentement ses yeux, et bailla la bouche grande ouverte en étirant ses bras. Une charmante scène, dans le style un ours qui se reveille le matin, où qui va chasser le poisson, là c'était un peu pareil. Un cachalot affalé sur un lit qui s'étire dans une position que même les personnes qui font du yoga n'arriveraient pas à reproduire. Dans son acte de feignantise habituel, soudainement il pensa à quelque chose. Ou plutôt il se souvena, que la dernière foi, les surveillants l'avaient chercher partout, pour finir par débarquer dans sa chambre et à l'engueuler comme du poisson pourri. Ou encore une foi, c'était Blaire qui s'en était mélée, et qui l'avait réveillé avec un glaçon dans le calbute, pour finir par le traîner jusqu'à la salle de sport. Cela le fit sursauter d'un seul coup, et il se redressa d'un bond. Et si cette foi, elle allait débarquer comme dérangée et l'enmener en le tirant par le caleçon ? Et si c'était Matsuko qui allait le chercher pour le trainer par la peau des fesses dehors ? Il frissona à ses pensées, qui n'étaient que peut rassurantes. Fesant un éffort sur humain, il posa ses deux pieds sur le sol mou, d'un enthousiasme inouïe de devoir se lever. Le rouquin se passa une main dans ses cheveux désordoné, pour voir un peu plus claire, et souffla sur l'une ou l'autre mèche rebelle qui lui fesait un rideau sur le monde. D'un mouvement lent, il se leva enfin, et commença à avancer. Sa vision d'abord un peu flouté, il manqua de se prendre le coin de la table de nuit dans le genou, qui fait très mal quand l'on se reveille je précice. Enfin, il alla jusqu'à la porte de la salle de bain et se retourna. Il s'étonna lui même de l'état de la chambre, qui n'était pas vraiment rangé. Des cahiers ouverts et presque vides étaient posés sur le sol et sur quelques étagères, ses vêtements et sous-vêtements étaient éparpilés un peu n'importe où, une pomme sur un meuble près de l'entré, en bref c'était la quatrième guerre mondial. Une chienne ne retrouverait pas ses chiots comme on dit, et d'aileurs, elle ne se retrouverait pas non plus. Il observa la situation un moment, haussa les épaules, et entra finalement dans la salle de bain, laissant la porte ouverte. Devant le grand miroir, il pencha la tête, et s'observa. Soupirant lentement, il attrapa un gant, l'humidifia avec de l'eau froide et se le passa sur son visage pour se reveiller un peu. Ensuite, il attrapa la serviete à côté de l'évier, et s'essuya le visage avec. Attrapant le jean bleu ciel à côté de lui, il l'enfila en sautillant comme un pure imbécile, y'a pas à dire. Ensuite il prit son sweat de couleur bleu ciel, rouge, orange et avec des points blanc. Special c'est vrai, mais cela aller avec le reste donc. Avec ses mains, il passa sur les plis de son pantalon, et fit un geste de la tête pour mettre ses cheveux en place. Ne pensait pas à Justin Bieber s'il vous plait, c'est simplement sa manière de se coiffer. Une brosse à cheveux ? Y'a pas ça ici ou alors c'est occasionel. C'est ce qui fait tout le charme de sa coupe, on va dire. Après, il se regarda dans le miroir, et fit un sourire idiot à lui-même comme il avait pour habitude d'en faire. Une autre sonnerie rentit à nouveau. Déjà une heure était passait depuis son réveil tardif? Apparament, oui. Rin haussa lentement les épaules, impassible à l'heure, se retourna et ferma la porte derrière lui. Il n'était pas encore près d'aller en cours, c'est sûr. Vu qu'il avait entendu des personnes parler d'une nouvelle élève qui sera apparament sa colocataire, il devait rangé sa 'chambre'. Enfer et damnation. Ranger se truc qui sert de chambre, c'est comme marcher au plafond, impossible. Enfin sauf si t'as des ventouses au pied, mais là, les ventouses, elles servent à rien. Le rouquin fit craqua ses poings, comme si il s'apprêtait à se battre. Oui, il allait se battre contre des coussins vangeurs, des caleçons envahissant et des cahiers de cours zombies. Fait-il trop de jeux vidéos pour s'imaginé cela ? Seul Dieu le sait. Ou pas. Enfin, il se mit à ramasser les objets non idéntifiés qui trainaient par terre, dans une joie pas possible. Après tout, si la demoiselle entrerait là dedans, elle le prenderait pour le pire des buffles qui existent, un mangeur d'homme ou alors un homo-sapiens sous évolué. Et après, vous vous imaginez si elle va se plaindre à l'administration ? Le rouquin pourra faire ses prières, son batême et tout ça d'un coup. L'administration et le directeur, ne portent pas vraiment le jeune homme dans leurs coeurs, en même vu qu'il en fout pas deux pour les cours, leurs attitudes, on les comprend. Après son ménage, aussi baclé que ses exercices de français, il se redressa lentement, et étira encore ses bras vers le ciel, comme si il venait de faire au moins cent pompes. Regardant autour de lui, il attrapa ses chaussures qui trainaient à côté du lit, s'assit sur celui-ci, et il les enfila. Levant la tête vers le plafond, il croisa l'heure au passage. 10:23. Ahem, ça fait mal, il avait math. Comment aurait-il voulu sécher se cours, mais si il le séchait encore, il était collé quatre heures. Vous vous imaginez, quatre heures à faire des mathématiques ? Il se suiciderait immédiatement, aucun doute là-dessus. Donc, il va essayait de ne pas être trop en retard, pour pas que sa nouvelle colocataire trouve son cadavre se soir, bourré d'aspirine, somnifère ou d'autre saloperie. Il attrapa un stylo à bille, le mit dans la poche droite de son jean et se releva, direction la porte. Non, vous pensez quand même pas qu'il allait enmener un sac pour mettre ses cahies dedans et tout ça ? Vous avez fumé je crois, lui il prend un stylo et il vole une feuille à sa voisine, et puis c'est tout. Tranquille quoi. Enfin, il ouvrit la porte, sortit, et la referma à clef derrière lui. Quand même pas assez idiot pour la laisser ouverte, quand même.

Taaac. Entrée discretement, mission échouée. Il avait ouvert la porte comme un bourrin, criant un « Boujouuur », sans même toquer avant, ce qui causa limite une crise cardiaque à tout le monde. Notament à la prof', dommage qu'elle n'était pas tomber de l'esdtrade, se dit le rouquin en la regardant. Sa technique, tu souris comme un idiot né de la dernière pluie, et tu sors une excuse au pif. Mais si vous savez, les excuses du genre « Excusez-moi, j'étais perdu dans le labyrinthe magique qui est sûr ma boîte de céréale » ou encore « j'ai faillit me faire absorber par mes céréales chocapik tout choco! » Bien sûr qu'il a le culot de sortir des annêries pareil, mais que croyez-vous. C'est donc après avoir raconter qu'il s'était trompé quatre fois de salle de cours, qu'il alla s'assoir tout au fond. La professeur n'en crue pas un mot, pas débile non plus, mais habituée, elle laissa couler. Une foi arrivé au fond de la salle, il regarda les places libres, et s'assit aujourd'hui près de la fenêtre. Pas de place atitré, il change quand cela lui plaint. Mais jamais devant, avoir la prof' en fond d'écran, c'est le suicide social. Il posa donc son fessier sur la chaise, et soupira, déjà ennuyer. Regardant une foi le plafond, une foi dehors, et une foi derrière luil, le mur. C'est à se demander s'il avait remarquer qu'il y avait un tableau. Apparament, non. Discrètement, il piqua une feuille blanche à sa voisine, qui le capta directement. Elle lui sourit gentimenent en penchant la tête, et lui donna avec les réponses des exercices qu'il devait normalement faire pour aujourd'hui. Pas fait, pas étonnant. Il haussa d'abord un sourcil, puis la remercia d'un clin d'oeil. Voilà ce qu'il y avait sur sa table : un stylo, même pas à quatre couleurs, une feuille blanche, et une feuille A4 pour les réponses, avec une écriture de fille. Certains professeurs se seraient arrachés les cheveux, d'autres auraient une envie de meurtre, mais le meilleur moyen encore, c'était de l'ignoré, de l'effacer de la surface de la classe, de rester zen et de ne pas penser à lui. Le rouquin se tourna les pouces sur sa table, ne sachant pas vraiment quoi faire, mais gardant toujours son sourire d'imbécile sur les lèvres. Regardant ensuite par la fenêtre, il fut absorbé par le paysage. Un ciel des plus bleu, pure, sans aucun nuage à l'horizon, qu'on pourraît croire que c'était la mer. Mais après tout, la mer n'est pas bleu mais transparente, c'est juste la couleur du fond marrin qui se reflètent dans celle-ci, et qui la rend encore plus belle. le soleil luissait fortement, ses rayons traversaient les fenêtres de la salle de cours, et éclairaient la pièce gaiement. Il ferma lentement ses yeux, toujours un sourire au lèvres, et se laissa berçé par la mélodie des oiseaux de dehors. Enfin, c'est plutôt cela qui le fit re-ouvrir les yeux, les oiseaux qui piaillent, qu'est-ce que ça peut être lourd. Surtout quand tu veux être tranquille, t'as rien demander à personne et eux, ils gueullent. Cela le fit soupiré lentement, et il se dit qu'il aurait mieux fait de sécher. Ensuite, son oreille fut attirer par les bavardages de ses camarades, ils parlaient de la nouvelle élève apparament, sa futur colocataire. « Malice Rosengard?» pensa t'il à haute voix, sortit de ses rêveries. Sa voisine eut un léger ricanement quand il prit la parole, et lui répondit instantanément « Non, c'est Alice son prénom, andouille. » Le rouquin haussa légèrement un sourcil, et rigola doucement, se foutant de sa propre gueule oui. Il croisa ensuite ses bras derrière la tête, d'une manière décontracté totalement. Puis la professeur, visiblement iritée, parla plus fort pour se faire entendre à travers les bavardages insécent dans la classe «Trouvez-moi le nombre x! » Le rouquin mit alors ses pieds sur sa table, se balança un peu en arrière, haussa un sourcil et lui répondit en montrant le nombre x au tableau, de loin, sortant une connerie habituelle qui fit rire toute la classe. Il s'étonna, parce que ce n'était pas sensé faire rire pour lui, et bien sûr il fut exclu du cours. Rin prit alors son stylo, ses deux feuilles, se releva de sa chaise, et sortit de la classe, attrapant au passage le billet de la prof'. Dans les couloirs, il regarda à gauche, puis à droite, pas de pions. Tant mieux, parce qu'il ne comptait pas aller à l'administration, mais il allait éré dans les couloirs et dehors surement, tout dépend de ses envies. Alors qu'il marchait tranquillement les mains dans les poches, il entendit des bruits de pas. Le rouquin releva la tête, priant pour que se soit un élève. Son voeux fut exosé, c'était un élève, ou plutôt une élève.

Elle était plutôt petite, mesurant environs un mètre soixante, mais son poids était proportionnel à sa taille. Un corps est fin et souple, avec musculature présente sans être excessive non plus, vu que c'est une demoiselle. Des fesses bien rondes et une poitrine développée sans vraiment trop l’être, juste la taille qu'il faut. Un visage fait avec une plume délicate d'un peintre. Mais ce qu'il regarda en tout premier, c'était bien ses deux yeux d'une couleur resplendissente. Deux saphirs qui brillaient de milles feux, donnant un éclat dans son visage pâle. Bien habillée, elle marchait d'une manière gracieuse, fesant virevolter ses longs cheveux attachés en deux couettes. La vache. Comment qu'ils sont long, c'est une perruque ou quoi ? se dit-il en jettant un regard. C'est fou le sens de la description qu'il a dans sa tête le rouquin, il l'avait simplement regarder. Il pouvait à présent faire une rédaction de au moins vingt lignes sur son physique, simplement à l'avoir regarder une seule foi. De tout façon, c'est toujours comme ça dès qu'il croisait une jolie fille. Jolie ? Oh oui, qu'elle était belle cette demoiselle. Il avait toujours son sourire habituel au lèvres, comme un imbécile de première classe. Mais cela fesait partit de son charme. Alors qu'il allait lui demander ce qu'elle fesait ici, vu qu'il ne l'avait jamais vu ici, un bruit de porte qui s'ouvre retentit. L'alerte rouge se déclancha dans sa tête, si c'était un pion ou un professeur, les oignons étaient cuit pour lui. Il pencha la tête sur le côté en la regardant discretement, avant d'accélerer le pas vers les portes de la cours. Elle devait peut-être le prendre pour un sécheur, un toqué ou encore un malpoli, mais bon, il se dit que la prochaine foi qu'il la recroiserait, il se ratrapera. Le rouquin poussa assez violament les portes, devala les petits escaliers en courant, et attérit dehors. Sauvé, se dit-il en regardant autour de lui. Personne, tant mieux, il sera au calme et à l'abri de la colle ici. Dans un coin un peu perdue de la cours, il avança. Ensuite Rin alla s'assoir dans l'herbe fraîchement tondue, et s'allongea dessus. Il fit la position étoile de mer dans la verdure, et regarda le ciel. Pure idiot allez-vous penser, mais que voulez-vous, on ne change pas le monde , et l'on ne change pas non plus les personnes. Le ciel défilait devant lui, aucun nuage toujours, c'était calme. Seul la brise fraîche brisait le silence en claquant dans les arbes et arbustes qui étaient plantés juste à côté. Lentement, ses yeux se refermèrent, et il écouta le silence. Oui, c'est possible. Des images défilèrent dans son inconscient, des paroles, des personnes, des visages, et des actes. La belle demoiselle qu'il avait rencontré s'y trouva aussi, cela lui fit ouvrir les yeux. Il venait de penser à quelque chose, et si cette élève, était cette Alice Rosengard ? « Aaah le boulet qu'je suis, si c'est elle,j'lui est foutu un veeent, comme un gros crétin! Fuck les profs! » avait-il pensé à voix haute, très haute même. Heuresement pour lui, l'endroit était désert vu que les élèves normaux sont en cours. À présent il était en pleine méditation, pour trouver un plan face à cette situation. Si cette demoiselle s'avérait être cette Alice, il faudra qu'il sorte une excuse. Bidon bien sûr, mais ça sera un jeu d'enfant, vu qu'il n'est jamais à cours d'inspiration. « M'enfin, elle avait pas l'air méchante, donc bon, fastoche de lui sortir un truc. » répliqua t'il à lui-même. Ne faîtes pas cette tête là, comme si vous, vous ne vous êtes jamais parler à vous-même. Il croisa ensuite ses bras derrière la tête, un sourire en coin. S'imaginant que cette demoiselle soit gentille et très naïve, dans le style, elle fait le ménage de toute la chambre, qu'elle allait lui faire la cuisine, et encore ses devoirs qu'il ne fesait jamais. L'espoir fait vivre, comme on dit. Quelque chose le fit sortir de ses pensées, la sonnerie de midi. Rin s'enpressa de se relever, et regarda autour de lui. Hésitant d'abord, il alla finalement en dehors de l'internat, pour courir. Eh oui, courire ça fait du bien, ça forge les muscles et l'endurance. Pour après pouvoir dépasser les autres personnes lors des cross, ou autre bordel dans le style et bomber le torse devant tout le monde, même si ce n'était pas le genre à faire ça. Oui, faut-il le savoir, mais la seule façon d’être suivi, c’est de courir plus vite que les autres.

Il ne vit même pas le reste de la journée passée. Quand il rentra à l'internat, discretement, il était environ dix-sept heures. Fesant toujours son sourire d'imbécile, il avança dans les couloirs pas trop peuplé, monta quelque escaliers, et se dirigea ensuite vers sa chambre. C'est sûr, il allait prendre chèr pour avoir encore sécher, et il sentait les heures de colle arrivaient, mais il s'en fichait. Même Matsuko, sa meilleure amie, ne pourraît surement pas changer cette attitude, têtue comme il est, le rouquin ferait exprès de ne pas l'écouter. Comme on dit, on ne fait pas boire de l'eau à un âne qui n'a pas soif. C'est un peu le même cas, il veut jouer à l'indomptable. Mais un jour, il se fera surement prendre à son propore jeu. En tout cas, il ouvrit la porte et rentra dans sa chambre, refermant la porte derrière lui. Normalement, son premier reflexe aurait été de se jetté sur son lit mais là, vu qu'il avait fait du sport, il fila à la douche. Refermant la porte de la salle de bain derrière lui, il fit couler l'eau de la douche pour qu'elle soit bien chaude. Après tout, personne n'aime les douches froides, sauf les maso. Enfin bref, il entra dans la douche, se lava le corps, puis ses cheveux. Une demie-heure plutard, il ressortit, enfila un caleçon, et mit une serviette sur ses cheveux, comme les demoiselles. Il sécha ses jambes, et enfila un jean de même couleur que ses cheveux. Le rouquin passa ensuite sa serviette sur son torse, puis sur son visage et ébourifa ses cheveux au passage. Il sortit alors de la salle de bain, et se dirigea vers son lit, et fit ce qu'il voulu faire depuis son entré. S'affalait. Comme une balaine échouée sur le plage, il était positionné pareil. Pas très glamour. Rin avait la tête dans le coussin, et souffler dedans, complétement crevé. Eh oui, on ne dirait pas, mais ne presque rien faire de sa journée, c'est très épuissant. Il se détentit, mais son ventre grogna. Maintenant, il avait faim, et cela le fit râler contre lui-même, ayant la flemme de se relever maintenant. Donc, il resta ainsi, sans bouger. Pouvant rester allongé toute la journée, il serait presque apte à mourir de faim. Mais ce n'est qu'une métaphore, il n'oserait pas mourir, juste par flemme. Le rouquin fit un éffort sur-humain pour se retourner, le dos nue contre le matelat, et le regard vers le plafond. Oui, sinon il allait s'éttoufer avec son cousin, involontérement il en serait capable. Grand gamin, c'est tout. Il fit ensuite la pose du gros pantouflard sur son lit, un bras et une jambe en dehors du lit. Torse nue, allongé sur son lit, position bizarre, décontracté. Il avait le look comme ça. Fesant le vide dans sa tête, il souffla dans l'air, puis réflechit à ce qu'il allait manger ce soir. Pizza ou lasagne ? Oui ben, la grève de la faim, c'est pas pour aujourd'hui en tout cas. Alors qu'il était tranquille, on toqua à la porte. Rin haussa un sourcil, il n'attendait personne pourtant, donc il se méfia un peu.
« Entréééé! »
C'est simple, si c'est un pion qui vient l'engueuler, il jouera au mec qui a trop mal au ventre, qui se tord de douleur et qui n'avait pas put aller à l'administration parce qu'il était pas bien. La comédie qui marche jamais, quoi. Et si c'est pas un pion, il ne bougera pas d'un poil, sauf si ça l'interesse vraiment, mais vu le degré de feignantise aïgu qu'il possède, c'est pas gagnait. Rin attendit alors que cette personne entre, pour voir qui était-ce.



[HRP: et ouais, je suis à découvert avec mon titre, j'aime Pink :B ps: c'est assez pourrie, mais j'en est bavais pour faire ce truc qui sert de rp.]
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Alice S. Rosengard

Alice S. Rosengard


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MessageSujet: Re: Raise your Glass • Alice!   Raise your Glass • Alice! Icon_minitimeMar 27 Mar - 17:36


«La rencontre ...»



Les cerisiers étaient en fleur, c’était vraiment beau. Les fleurs de cet arbre ont souvent une teinte agréable à l’œil, un joli rose pâle mais qui rendait la vie plus belle. Elle aimait ces arbres là, elle les aimait plus que les autres car ils lui rappelaient sans doute Ella, la meilleure amie de la demoiselle. Et puis, ils montraient la renaissance de la nature. C’était beau. Les oiseaux revenaient chanter, de nouvelles feuilles poussaient sur les branches d’arbres et surtout, les animaux sortaient de leur cachette. Enfin, ca lui rappelait beaucoup de souvenir aussi. Tant de bon moment passé au par avant avec sa famille. Celle qu’elle chérissait malgré son nom qu’elle détestait. Oui, elle haïssait le nom « Rosengard » et c’était assez compréhensible. Les gens ne l’aimaient pas, ils aimaient son nom de famille, sa richesse … Elle n’a jamais connu de vrai sentiment a part ceux de sa nourrice, d’Ella et ses parents. Elle ne sait pas ce qu’est l’amour, ce qu’est le coup de foudre. Elle se rappela que sa mère lui en avait beaucoup parlé, surtout la rencontre entre elle et le père de la jeune demoiselle. Elle, elle n’y croyait pas. L’amour et tout le tralala. Elle posa sa main sur la vitre de la voiture. Cela faisait un certain moment qu’elle roulait sur la nouvelle île où elle allait habiter et le chauffeur la gonflait sérieusement. Plus chiant, tu meurs ou du moins, c’est ce qu’elle croyait. Elle s’étira grandement et soupira. Elle avait mal a la colonne vertébral et ses ailes ne demandaient qu’une chose. Sortir. L’envie frappante d’hurler s’imposa en elle, et elle du fermer les poings très fort pour ne pas le faire. Tout ca était une douleur physique et elle le faisait ressentir au conducteur. Ouais, elle lui faisait de la torture psychologique. Au fait, question comme ca hein. Vous savez c’est qui elle ? La fille aux longs cheveux bleus et regard d’eau. Aller j’vous ai donnez un indice et c’est surement la personne la plus connu d’Angleterre mais elle reste néanmoins connu des autres pays pour sa mort atroce. Bah oui c’est Alice. Alice Scarlett Rosengard. Le chauffeur remarquant la nouvelle mauvaise humeur de l’ange, il s’arrêta le temps qu’elle prenne un peu l’air. Il faisait beau, et il était peine huit heures du matin. L’air était doux, un temps de printemps. Même avec son magnifique uniforme scolaire gris et rose, elle commençait à avoir un peu chaud. De toute facon, elle n’aurait bientôt plus chaud. Elle allait découvrir ses petites ailes donc enlever son T-Shirt. Une fois en soutif, elle libéra ses ailes et s’envola un peu dans les airs. Il fallait … il fallait qu’elle se dégourdisse … De voler, la calmait. Finalement au bout d’une belle demi-heure, ils reprirent le voyage qui ne durait plus qu’une petite heure. Bientôt elle y serait.

Magnifique. C’était le seul mot pour décrire ce sublimissime endroit dans lequel elle arrivait. Cet endroit était l’Internat Himitsu. Situé entre des collines, c’était un vieux château du 17éme siècle. Il y avait beaucoup de verdure, elle aimait. C’était un endroit vraiment agréable a l’œil. Elle avait hâte maintenant. Elle avait hâte de voir l’intérieur. Alice était assise encore de la voiture, elle avait qu’une envie sortir de la bagnole. Le chauffeur se gara et c’est avec un grand sourire qu’elle sortit et récupéra ses affaires. Un léger « Merci d’vos bons services » et elle se dirigea vers l’entrée. On ne pouvait pas le rater. Ecrit en grand juste au dessus d’une porte en verre « ACCEUIL », vraiment, vraiment pas voyant. La demoiselle se dépêcha d’aller tirer la porte en verre. Une main sur la poignée, elle soupira et entra. L’intérieur était chaleureux. C’était bon signe. Elle s’approcha d’un comptoir débordant de papier, une femme s’y tenait derrière. Grande, la peau vraiment pâle quasi-translucide, des cheveux violets et courts et des habits psychédélique. Elle était belle mais elle faisait un peu peur. Surtout ses yeux rouges tels le sang et son sourire où dépassaient deux petites canines bien pointus. Une vampire … Quel chance. Première rencontre dans cet endroit de fous, première rencontre qui fait peur. Lili lui rendit son sourire et lui expliqua sa situation. La femme lui donna des papiers à remplir, pleins de papier. Alice détestait la paperasse. Dessus, elle indiqua son nom, ses deux prénoms (oui parce qu’elle en a deux), sa race c’est-à-dire ange coupé cyborg puis des tas d’autres choses sans importances. La madame lui donna d’autre papier concernant l’établissement cette fois. Genre un plan pour pas se perdre, un emploi du temps juste au cas où. Puis elle fit appeler quelqu’un. Un léger « Oh my God » sortit de la bouche de la jeune fille tandis que ses yeux saphirs scrutaient le nouveau venu. C’était pire qu’un canon là. Grand, blond, la mèche sur le côté, bronzé, un sourire magnifique… Elle crut fondre sur place. La femme ravit de son appelant, se mit à rire. D’une voix fortement masculine, il lui dit « Viens, je vais te faire visiter ». Alice resta la bouche ouverte tout en hochant la tête. Il l’attrapa par la main et la fit venir tout près de lui. Très dragueur. Il lui fit plusieurs compliments qui la firent tous rougir et finalement, il commença la visite. Grand. C’était le seul mot qui qualifiait le plus cet établissement. Elle s’était paumée, éloignée de son guide et était juste paumée. Elle entra dans un couloir qui n’avait aucun rapport avec le plan. Les couloirs et les escaliers changeaient-ils comme dans Harry Potter ? Si c’était le cas, elle n’allait jamais s’y retrouvé. Tournant la tête sur le côté, elle vit quelqu’un. Un jeune gars aux cheveux roux. Mignon mais moins que son guide. Avec un petit sourire, elle s’en approcha pour lui demander son chemin mais dès qu’elle avança, il disparut en courant. Né ? Elle avait quelque chose de pas normal ? Fronçant les sourcils, elle regarda autour d’elle. Elle était perdue et définitivement, son « guide » avait disparu et son « sauveur » s’était barré. La jeune fille s’arrêta et passa une main sur son visage, en proie au désespoir. Or une voix masculine qu’elle connaissait parla. Il était revenu ! Son guide. Souriante, elle se releva et se dirigea vers lui.

La pause de midi sonna, enfin. Les deux jeunes gens, en grande discussion, partirent en direction de la cantine. Oups, pardon. Du réfectoire. Ouais parce ce qu’ici, si tu avais le malheur de parler d’une CANTINE et bah on te réprimandait en te disant que c’était un REFECTOIRE. D’ailleurs le beau-gosse l’énervait plus qu’autre chose là. Il ne parlait que de lui, à croire qu’il était le gens le plus important du monde entier. Franchement s’il n’était pas son guide, elle l’aurait bien remballé. Là, il lui foutait mal a la tête. Elle avait une envie volé et une autre écrire. Bien vite elle allait oublier sa journée –‘fin, elle le souhaitait- et elle devait l’écrire dans ce fichu journal intime qu’Ella, sa meilleure amie terrienne, lui avait offert le jour de son anniversaire en lui disant que ca faisait du bien au cœur de se confier à quelque chose que personne ne lira. Ouais, ouais, c’est ca ouais. Pff, n’importe quoi. Lily regarda dans la salle remplie, le garçon à ses cotés la dévorait des yeux et la fillette faisait semblant d’écouter sa vie. Elle avait juste une envie, envie puissante de lui dire « TAGGLE MERDE ! » mais elle pouvait pas, sinon elle se paumerait. D’ailleurs … Elle était en pleine réflexion sur son/sa camarade de chambre quand il l’invita à s’assoir à sa table. La sienne à lui, c’est-à-dire avec tous ses potes. Un Efferalgan devrait l’aider a tenir le coup ce soir, en plus elle en avait dans son sac. La demoiselle sortit son IPod sous les regards interrogateurs des autres, elle mit son casque histoire d’être tranquille et sortit son journal intime ainsi qu’un stylo plume. De sa délicate écriture, elle commença à écrire –tout en Anglais, bien sur- la date d’aujourd’hui ainsi que le fameux « Cher Journal Intime … ». Des rires fusèrent autour d’elle, la faisant rougir. Elle s’appliqua a ne pas montrer aux autres ce qu’était ce petit carnet. Elle écrivit la moitié de sa journée. De plus en plus, elle détestait les gens qui étaient ici. Elle écrivit ses impressions sur l’Internat puis sur les gens qu’elle avait vu ou rencontrer. L’un lui avait mi un gros vent mais c’était pire qu’un vent là, à ce stade c’était une tornade. L’autre se foutait continuellement de sa gueule. Elle soupira et elle ferma son journal quand elle sentit quelque chose au dessus de son épaule. Elle enleva son casque et regarda le gars dans les yeux. Qu’est ce qu’il lui voulait lui ? Curieux. A rajouter. Chiant, méchant, narcissique, et curieux. Assez réflexions stupides tout comme ce gars, elle sourit. Elle pencha la tête en avant et le regarda. Il lui fit signe de se lever tout en lui tendant sa main, elle se leva sans l’accepter. Il eu un mauvais sourire. Quoi ? Qu’avait-elle fait ? Sortant de la cantine, elle chercha ce que voulait-dire ce mauvais sourire bien qu’elle sentait les ennuis. Ca ne rata pas. Aux alentours de dix-sept heures, il voulu la raccompagner a sa chambre. Elle accepta, étant toujours paumée ici. C’est sans se doutée de quelque chose, qu’elle le suivit en dans les décombres d’une prison au sous sol du bâtiment.

Une bande. Ses écouteurs sur les oreilles, elle ne se doutait absolument de rien. Ils étaient là, toute une bande. Tous ceux qui étaient là autour de la table voir d’autre. En tout cas, ils arboraient tous des sourires sadiques et des regards pervers. Alice baissa le son de son IPod et regarda son guide. Il avait disparu. Et bah tiens … L’ange se figea et les regarda. Dans quel plat venaient ils de marcher, hein ? C’était que l’hybride n’était pas délicat et encore moins avec les gens qui l’agressaient. Un sourire illumina son visage mais pas un bon sourire, un mauvais, un sadique, un cruel … Elle baissa la tête, sa frange passant devant ses yeux de couleur saphir. Elle sentit un mouvement dans son dos, elle ne broncha pas. Une main sur sa hanche et l’autre titillant sa mini-jupe rose, repassant sur les plis. Franchement, ils n’auraient pas dû. Ils n’auraient jamais du essayer. Bien sur, elle n’allait pas les tuer. Elle tenait trop a ses ailes. Petit point que le beau gosse connaissait, il allait bien l’utiliser. Mais qui a dit qu’un ange ne savait pas mentir ? Qui a dit qu’un ange ne pouvait rien faire de méchant ? Celui qui a dit ca se trompe bien. En plus d’être un ange, Alice était un cyborg. Un corps constitué de ferraille. Enfin … C’est pas ca, c’est surtout que certains de ses organes –non importants- sont faux et que l’os de son bras est en métal. Elle ferma les yeux, toujours ce sourire aux lèvres. Un effleurement aux niveaux des reins, elle se laissa croire fragile aux autres. Elle pensa à son pouvoir. Les illusions … Torture psychologique … Quelqu’un l’agrippa et la colla tout contre. Un homme. Immédiatement, tel un réflexe, elle donna un coup avec son bras en métal. Elle attendit qu’il tombe a terre pour lancer ses illusions. Choses qui bloquaient les sens. Si on croit à l’illusion alors celle-ci devient réelle. Malheureusement pour eux, ils n’y connaissaient rien. Ils allaient en ressortir avec des plaies graves mais pas mortelles. Après un quart d’heure de joujous avec eux, elle reprit l’escalier prit plus tôt et sortit de cet endroit maudits. Elle sortit son fidèle plan et commença à suivre les indications. Bien vite, elle arriva devant sa chambre. La n°5. Soupirante, elle frappa et eux voix masculine répondit. Merde, un mec. La valise à la main, elle entra et regarda son colocataire. Affalé sur son lit, c’était le roux. Son « sauveur ». Trois mots sortirent de la bouche de la belle demoiselle.

« Oh my god … »

[Hors-Rp, Arrete c'est bien ton Rp comparé au mien T-T]

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Rin Adams

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MessageSujet: Re: Raise your Glass • Alice!   Raise your Glass • Alice! Icon_minitimeJeu 5 Avr - 16:06


La gloire,les femmes et l'argent. Où pas.



« Selon les statistiques, il y a une personne sur cinq qui est déséquilibrée. S’il y a quatre personnes autour de toi et qu’elles te semblent normales, c’est pas bon. »


« Oh my god … »

La personne qui avait toquer à la porte venait d'entrer, et avait passer le seuil de la porte. Là, elle s'était arrétée net et regardait le rouquin avachit sur son lit avec de gros yeux. Un peu comme une mouche, même si l'allusion à cet animal plutôt laid n'est pas très agréable. Le premier reflex du rouquin, reflétait l'intégrale splendeur de son intelligence. Il se retourna derrière lui pour voir qu'est-ce qu'il y avait. Futé comme le monde, vous pourriez lui dire qu'il y a un ours rose avec des papillons zombies derrières lui, il se retournera automatiquement. Après avoir regarder le mur pendant cinq minutes, c'est qu'il cherche en plus, Rin regarda à nouveau la jeune demoiselle qui était toujours postée dans l'entrée. Il lui fit un de ses sourires idiots, qu'il fesait habituellement à tout le monde. Mémoire de poisson rouge ? Encore là, vous êtes gentils. Un poisson à une mémoire de trente secondes apparament, juste le temps de faire le tour de son bocal. Rin lui, à une mémoire de rien du tout. Il faut toujours lui répeter tout, encore et encore. Un peu comme une mère avec sa fille qui ne veut pas ranger sa chambre. Grand gamin. C'est alors, que dans sa tête, il remarqua qu'il était affalé comme un sac à patate sur son lit, torse nue, et qu'il souriait bêtement mais ce n'est qu'un détail. Lentement, le rouquin se redressa en fesant appelle à une force sur-humaine pour s'assoir correctement sur le bord de son lit pas fait. Il pencha ensuite la tête sur le côté, pour l'examiné. Non sans discrétion, il l'observa de la tête au pied, puis croisa ensuite ses bras derrière la tête, lui donnant un aspect décontracté. Sans gène, la discrétion ne fait pas partie de ses qualités. Encore, faut-il qu'il en est, après tout. Ceci dit, des qualités seront dures à trouvées, quand on ne se souvient même plus de la belle demoiselle que l'on à croisé dans la matinée, et dont on a entendue parler toute la journée. C'est qu'il y a vraiment un problème quelque part. Où alors, est-ce simplement lui le problème ? Va s'avoir. Les paroles de la jeune demoiselle lui vinrent enfin au cerveau, avec un léger décalage. Elle avait prononcée seulement trois mots, et d'une manière, comme si elle venait de voir un extraterrestre. Même si d'un côté, il y avait de quoi s'inquiéter. N'importe qui serait parti en courant en voyant un rouquin torse nue affalait sur son lit en le traitant de pervers, n'importe qui aurait sauté de la fenêtre en voyant son intelligence, et n'importe qui l'aurait tapper avec un balai en voyant le bordel. Mais, après tout, si elle n'a pas un caractère de culcul la praline et de rebeu qui crâche partout, elle ne devrait pas être n'importe qui. Normalement.

«Boujouuur miss.. T'veux quoi? »

Il pencha à nouveau sa tête sur le côté, lui donnant un air calme et réflechit. Bien sûr, mes fesses aussi tant qu'on y est. Le rouquin passa ensuite sa main gauche dans sa nuque, avant de la reposer sur la couverture du lit, pour ne pas basculer en arrière. Il souffla ensuite sur l'une de ses mèches rousses qui lui tomber sur le visage, qui lui donnait un air de vraiment intéréssé par ce qu'il se passait autour de lui. À prendre avec ironie entendue. Ensuite, il jetta un coup d'oeil sur le sol, et vit quelques classeurs de matières inconnues dans en mauvais états. Discretement, il donna un petit coup de pied dans ceux-ci pour qu'ils disparaissent sous son lit. Mission passer inaperçu pour cacher les devoirs pas fait, échouée. Son sourire idiot réapparu, même s'il ne l'avait jamais vraiment quitté. Son regard se posa à nouveau sur la demoiselle. Il était heureux qu'elle soit là, ouais, parce que si ça avait été un pion qui était entrer, ça aurait figther. Dans le style, combat de cahier, de fiches d'heures de colles, et pour finirent il lui aurait fait bouffé ses mauvaises notes. Quelque chose cassa sa profonde réflexion du combat imaginaire avec un pion, c'était son ventre. Il grogna de faim. Vous voyez ? Le truc qui te met trop mal à l'aise, surtout quand y'a un blanc et que tu entends que ça. Le pire dans tout ça, c'est que t'imagines encore que tes organes sont entrain de se battre avec tes boyaux, et que ton intestin grele est entrain de bouffer ton estomac. Bien sûr, comme tout con qui se respecte, il se donna un petit coup de poing dans le ventre, pour qu'il se taise. Et pourtant, on vous l'affirmera, il n'est pas masochiste. Enfin, cela reste à prouver, mais ce n'est pas le sujet pour l'instant.

« Euuh.. C'toi mon coloc' ? »

Dit-elle de sa douce voix. Le rouquin haussa un sourcil, ne comprenant pas tout de suite. D'abord il la regard d'un drôle d'air, croyant qu'elle se foutait de lui. C'est un peu comme demander à un aveugle s'il aime bien ton nouveau tee-shirt. M'enfin, ce n'est pas lui qui allait faire des repproches, il serait en très mauvaise posture pour critiquer les questions débiles des autres. Là, une méchante idée traversa l'esprit mal tourné qu'il pouvait avoir. Il pourrait se faire passer pour quelqu'un d'autre, et lui dire qu'elle s'était genre trompée de chambre et l'envoyer chez Blaire ou Matsuko. La brunette aurait surement péter un cable sur la nouvelle juste parce qu'elle l'aurait déranger alors qu'elle regardait sa série de télévision préférée. Dans le genre je pète un cable pour nawak, y'a pas mieux. Il pourrait encore se faire passer pour un squatteur qui à pas de chambre et qui vient, genre tranquille, occuper la chambre alors que c'est pas à lui. Mais non. C'est surement son bon fond qui lui interdisait, et surement pârce que ça fait trop moche. Et parce qu'on ne sait jamais aussi, vous vous imaginez qu'il essaye de la taquiner et qu'elle prenne cash la mouche, qu'elle te sort que c'est une karaté kid et qu'elle le foute à plat de couture en même pas deux secondes. Dure dure la vie, mais oublions pour l'instant les karatés kids, kamikazes et toutes autres conneries de ses pensées. Cette jeune femme est plutôt frelle, donc pas de soucis à se faire, se dit-il. Il faudrait simplement qu'il encre dans son crâne, qu'il faut se méfier des apparences, mais comme on dit, pourquoi vouloir faire boire un âne qui n'a pas soif ? Pour rien, juste une perte de temps.

« Ben, si t'es Malice Rosengard, w'ouais c'est moi ton coloc. »

Mission tuage de nom et prénom, clear. Une certaine voisine de mathématique l'aurait étrangler avec ses organes, puis elle lui aurait pendu les pieds au plafond avec ses boyaux juste à cause de se M. Tout le monde en parlait depuis le début de la matinée, tout le monde attendait la venue de la fameuse Rosengard. D'aileurs, il ne connaisait même pas cette famille. Même pas le nom. Ni l'histoire. Non rien, tel un inculte de son pays, en même temps là ou il avait vaincu, c'était pas là-bas que t'avais des cours d'histoire-géographie et encore moi les dernières nouvelles de l'Angleterre. T'étais juste heureux quand t'avait un bout de pain et de la vieille eau, alors bon les histoires du soit-disant pays où tu serais né, on s'en fout. Le rouquin lâcha un soupir lent, quand il repensa au passé. C'était le seul moyen de lui faire perdre sa bonne humeur et son sourire de joyeux luron. Pous éviter que quiquonc le remarque, c'est à dire la demoiselle vu qu'il n'y avait personne d'autre, il se releva lentement. Il étira ensuite ses bras vers le ciel, comme s'il eut envie de faire une incantation, mais non, et bailla en mentant sa main devant sa bouche. Ce n'est pas un porc non plus, ne faut-il pas abuser. D'un mouvement lent, mais montrant quand même sa démarche féline, il s'approcha de la jeune femme. N'allait pas croire qu'il allait la virer où lui sautait dessus, il n'est point fou encore. Une foi arrivé devant elle, avec au moins une tête et demie de plus, il l'observa discretement avant de regarder sa valise qu'elle tenait à sa main. Et comme si cela était normale, il l'a prit, sans lui arracher non plus ce n'est pas une brutte, et se retourna vers le côté non habité de la chambre. Le rouquin posa ensuite la valise sur le futur lit de la demoiselle, et se retourna vers elle. Il pencha la tête sur le côté, et mit en même ses mains dans ses poches. Retenez bien l'acte galant qu'il venait de faire, parce que monsieur ne bouge pas toujours son popotin pour les autres, encore moins quand il est environs 19h. Un miracle n'arrive seulement une foi dans l'année, et encore, c'est pas sûr.

« Entre complétement, au lieu de basculer entre le monde du couloir et celui de la chambre ! » Une connerie de sortie. Une autre d'encrée, et une autre d'imaginer. Elles ne sont que s'amaser, mais à force, on s'y habitue. Il suffit juste de se préparer psychologiquement à avoir cet être un peu space comme colocataire, et tout va comme sur des roulettes. Ou peut-être pas?



[HRP: Désolée. C'est court. À chier. Minable. Je vais me pendre. ]

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MessageSujet: Re: Raise your Glass • Alice!   Raise your Glass • Alice! Icon_minitimeDim 29 Avr - 10:30


«Qui es-tu? »



Alice regardait le rouquin avachit sur son lit. Mais n’était-ce pas le « sauveur » ? Cela la surprit. Il ne paraissait plus tout à fait « sauveur » il faisait plus « moi-je-suis-un-gros-fainéant-qui-pense-qu’-a-dormir ». Quand la jeune fille lui parla, il se tourna pour regarder derrière lui. Etrange réaction vu qu’il n’y avait rien derrière. Finalement, elle baissa la tête, gênée. Grave erreur. Elle vit le bordel qu’il y avait dans cette chambre. Elle crut faire un malaise. C’était quoi tout ca ? Elle allait devoir y remédier, ca n’allait pas le faire comme ca. La jeune fille grimaça tandis que le garçon se redressait sur le lit. Elle eu, alors, le plaisir de le contempler. Il était torse nu –surement son pyjama- il était musclé, ce qui ne déplaisait pas vraiment à Lily et avait l’air grand. Peut être un peu con sur les bords mais bon. Souriant comme un idiot, oui les filles le remarquent toujours, il la détailla ce qui gêna d’un peu plus l’ange. Il passa ses bras derrière sa tête, lui donnant un air décontracté que ne pouvait avoir Lacie. Deux secondes après, il dit enfin « Boujouuur miss... T'veux quoi? » il pencha sa tête sur le côté tandis qu’Alice se demandai à quoi il pensait. Un pervers, si ca se trouve. Encore ? Nan, pas encore. Elle ne voulait plus. Elle les revoyait encore se rapprocher d’elle avec des sourires idiots, elle ne voulait pas. Un blanc s’installa entre les deux adolescents en profonde réflexion. L’une en train de désespérer sur son futur colocataire et l’autre, bah on sait pas vraiment à quoi il pense. L’envie de fuir la frappa et elle du résister en s’accrochant à sa valise. Ca aurait trop fait mauvaise impression surtout quand on est noble. Finalement un bruit lui fit relever la tête et elle regarda, avec horreur, le garçon en train de cacher des cahiers en piteux états. Devoir ? Surement. Un nouveau ce blanc gênant qui fut interrompu par le grognement de ventre du surnommé Rin. Alice faillit rire mais elle se retint royalement. Pour si peu, elle n’allait pas rigoler non plus. Pas gracieux, du tout ! D’une voix douce, elle demanda au garçon. « Euuh… C'toi mon coloc' ? » A nouveau ce blanc. Elle soupira, c’était … désespérant. Elle avait qu’une envie, fuir. En hurlant, en plus. Son cœur battait un peu vite, et elle commença à se bouffer la lèvre. Tic nerveux. Toujours, tout le temps, quand elle n’est pas bien, elle s’entame la lèvre. Une nouvelle envie la submergea. Celle d’aller voler, de libérer les fines ailes blanches et douces. Elle ferma les yeux et commença à compter ses respirations. Sorte de facon de passer le temps. Après quelques minutes, il reprit avec un « Ben, si t'es Malice Rosengard, w'ouais c'est moi ton coloc. ». Malice ? MALICE ? MALICE ! D’où, elle s’appelait Malice ? Elle avait pas une tête de Malice ! Et en plus Malice, elle trouvait ca moche. La folle envie de le mettre par terre et KO par la même occasion la frappa. Oula mais c’est qu’elle en avait des envies qui la frappaient et la submergeaient. Le garçon s’approcha et lui attrapa sa valise et la posa sur le lit qui était dans la partie de la chambre inhabité. L’ange grinçait des dents, elle n’en revenait toujours pas qu’on est démoli son prénom et qu’en plus on s’en rende pas compte. Elle rentra dans la chambre tandis qu’il lui sortait quelque chose qu’elle n’écouta, bien sur pas. Trop énervé pour penser, elle s’avança vers le garçon de sa démarche de mannequin mais resta à deux mètres. Ne jamais s’approcher d’un mec torse-nu qu’on ne connait pas, risque qu’il soit pervers. D’une voix doucereuse, elle susurra entre ses dents.

« De un, je ne m’appelle pas Malice mais Alice. Massacre encore une fois mon prénom, et tu te retrouves à l’hôpital. Clair ? » Finalement, elle se détendit et reprit calmement. « Tu ne connais pas le balai et la notion de ranger ? C’est chambre est une vraie déchetterie ! »

Décidément, il n’avait pas de chance. Tomber sur Alice S. Rosengard en colocataire, il était sur de mourir car, ange ou pas, elle allait le faire ranger la chambre, faire faire la salle de bain, ranger ses tiroirs, faire faire ses devoirs. Elle n’allait surtout pas le lâcher. Il n’était pas dans la panade, lui. A sa place, tout le monde aurait décidé de changer de chambre et vite. Même si il lui arrivait de se détendre, d’être sympa, elle restait une personne détestable quand on parlait de rangement. Mais elle était, aussi, une bonne coloc’ car elle aidait pour les devoirs ou autre. Est-ce de sa faute si elle est intelligente ? Non, absolument pas. Soupirant un grand coup, elle regarda le garçon dans les yeux et chercha une quelconque émotion de sa part. D’ailleurs, elle ne s’était pas vraiment présenté à lui et lui à elle. Décidément, quelle malpolie qu’elle fait ! Soupirant légèrement, elle tendit sa fine main aux ongles colorés de bleu turquoise et elle continua.

« Je suis, plus exactement, Alice Scarlett Rosengard. Et toi … qui es tu ? »

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