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 Il inspire le calme, dit-on~

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3 participants
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Soen Ishikawa

Soen Ishikawa


Messages : 1
Date d'inscription : 08/05/2012

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MessageSujet: Il inspire le calme, dit-on~    Il inspire le calme, dit-on~  Icon_minitimeMar 8 Mai - 15:18


Soen Ishikawa



You, you and... you :
Âge : 25 ans
Sexe : Homme
Race : Démon
Orientation Sexuelle : En général, il s'intéresse surtout à la beauté. Mais si il devait avoir une orientation quelconque, ce serait Bi.
Classe : Professeur d'Histoire...
Pouvoir : Soen s'immisce dans les pensées pour les contrôler à sa guise. Le plus souvent il y répend des images tellement monstrueuses que le corps, voulant rejeter ces pensées, qui sont au delas de ce qu'il peut supporter, se détruis de l'intérieur, faisant exploser ses organes et broyant ses os. Pouvoir pouvant paraître complexe et nécessitant une maîtrise complète de soit et de son énergie personnelle, basé essentiellement sur le rejet du corps.


Son physique
Commençons juste par ses yeux d’un bleu d’une profondeur égale à celle de l’abysse. Un bleu captivant s’accordant parfaitement avec son teint pâle et ses cheveux violets très clairs. Son regard, à la limite du transcendant –du fait qu’il soit un démon, il n’y a rien de très humain au fond de ses pupilles- qui a tendance, puisqu’il est prof, à faire craquer les jeunes filles de son cours, plus captivées par lui que par son cours d’ailleurs, ce qui l’agace quelque peu. Oui, bien sûr, c’est le schéma typique du beau professeur et pourtant, ce n’est pas courant d’en voir un si peu souriant arriver à provoquer une telle foule autour de lui, sans non plus être classé dans le type associable et rebelle, on lui donne plutôt une réputation d’intouchable… certainement parce qu’il est prof et que ce sont surtout ses élèves qui ont tendance à la classer dans telle ou telle catégorie. Les yeux sont certainement son atout essentiel si on considérait que séduire pour lui était important –voir primordiale… on sait jamais- et malgré ce que l’on peut penser, il n’en joue pas vraiment… trouvant même parfois ce genre de situation blasante.
Maintenant que l’on s’est surtout attardé sur un détail, revenons à l’essentiel… ou plutôt, à son physique dans son ensemble. Grand. Oui, c’est sûr, ce n’est pas quelqu’un de petite taille, du haut de son mètre 85 et de nouveau, cela peut être considéré comme un avantage pour lui. Une musculature fine mais belle et bien présente. Il est certain que ce n’est pas une montagne de muscle, un joueur de catch mais son torse parfaitement sculpté et plutôt fin qui plus est lui donne un certain charme. Son corps fuselé et longiligne qu’il a hérité de son père s’élance à chacun de ses pas au travers des couloirs d’établissements qu’il a déjà pu fréquenter et sa tignasse claire qu’il ramène souvent sur un coté de son visage en glissant ses doigts dans celle-ci –geste qu’il fait souvent soit dit en passant- se retrouve couramment décoiffé, légèrement en bataille, laissant au démon, quelque chose, une impression sauvage de lui.
De longues jambes, encore une fois, musclées mais fines ; des bras qui n’ont rien à leur envier non plus puisqu’ils se retrouvent dans le même état d’esprit, aussi allongés, parfaitement proportionnés. Des mains dont que l’on a déjà qualifié d’érotique par le passé… comment rendre des mains érotiques ? On supposera que cela vient de ses doigts plaisants à regarder. [Non, ce n’est pas une blague… owo]
Le plus souvent vêtu d’un simple kimono voir même, d’un fudoshi quand la saison le permet, Soen aime beaucoup les traditions japonaises que sa famille lui a enseigné et c’est pourquoi il chéri cet habit qu’il portera la plupart du temps.

La beauté du diable, une beauté glaciale qui crée pourtant une sensation de chaleur dès que notre regard se pose sur lui. Quelque chose de froid et distant qui réchauffe chaque fois que nos pensées s’égarent pour aller le rejoindre. La beauté de glace, une beauté qui fait froid dans le dos, une beauté pure et impure à la fois... quelque chose ne va pas, les contours de son corps doux et gracieux, lui donnant un air soigné mais son regard froid et brûlant transpire la sauvagerie, bien pire que le feu, bien pire que la glace, le mélange des deux.




Son mental
Nous vous demandons un minimum de sept lignes. Soyez le plus complet possible.


Son histoire
Une atmosphère étouffante, une pression dans l’air venu d’on ne sait où et des cris qui paraissaient pourtant lointains semblent se rapprocher avec une lenteur étouffante. Une lenteur qui devient lourde et l’oxygène qui commence à se faire rare… le bruit du battant de la porte du placard venu s’abattre contre l’épais mur de pierre retentit, une tignasse à mi-chemin entre le violet et le blanc surgit tandis que son propriétaire sort de sa cachette les bras levés. « Bouh ! J’ai encore gagné, tu m’as pas trouvé ! »
C’est peut-être le scénario typique des films dramatiques avec des massacres et tout ce qui va avec… n’empêche, c’est celui qui marche à chaque fois. On ne peut retirer une mare de sang à une scène de crime, on ne peut défaire cette expression terrorisée sur le visage de cet enfant qui, pensant qu’encore une fois, sa petite sœur n’avait pas réussi à le trouver dans le placard, vient de découvrir les domestique de sa famille étalés sur un sol tapissé de rouge et empilés les uns, sur les autres, s’amoncelant au pied d’un pan de mur entièrement recouvert d’écriture qui ne constituent en fait que des citations qui représentant la famille Ishikawa sans compter l’odeur de putréfaction qu’il s’en dégage, rendant cette scène plus abominable que ce qu’elle ne l’est déjà.
« Viens avec moi, Soen. »
Les pas du garçon âgé d’à peine sept ans deviennent étouffés dans le long couloir, à travers les corps qui ne finissent de s’écraser à ses pieds et le sang qui ne cesse de teinter ce décor morbide. Sa voix tremblante appelle, ses petites mains que l’on devine faible s’accroche de temps en temps à un mobilier pour l’aider à rester debout. Ne pas tomber maintenant… non, si il tombe maintenant, il le sait, il ne se relèvera jamais. « Maman, papa ! » La vieille porte en bois s’abat de nouveau contre la cloison, le démon rentre dans la pièce, haletant et cherchant du regard un signe de vie tandis que son corps entier, trop faible pour affronter tout cela, commence à ne plus pouvoir tenir et à basculer en arrière pour atterrir, le dos contre la vieille armoire qui y trône. C’est ici qu’il se cache d’habitude pour trouver du réconfort à se sentir protéger, seul, sans qu’il ne puisse sentir de menace quelconque… juste pour échapper à tout ça. Il fait quelque pas en avant, tentant de ne pas perdre toute maintenance et poursuit son chemin à travers le salon pour enfin arriver dans le hall. C’est là qu’il reconnaît le corps de sa petite sœur suivit de celui de son père, la tenant dans ses bras, certainement pour la protéger des individus venu massacrer toute sa famille. Un gémissement involontaire étouffé par ses mains franchit ses lèvres tandis que le visage de l’enfant pourtant naturellement si souriant se décompose et que ses larmes viennent rougir ses yeux d’un bleu profond. Quelque chose qu’un enfant, peu importe qu’il s’agisse d’un démon, ne devrait pas avoir à subir, un spectacle aussi morbide qu’effrayant et un silence lourd qui vient vite l’écraser. Son corps rejette tout ceci, il n’accepte aucune de ses images, il semble se tordre sous la douleur de la vision des corps de sa famille s’étalant à ses pieds. Qui a bien pu faire ça ? Pour quelle raison ?
Une main venant toucher son épaule le fait sursauter, son petit cri résonne dans la pièce tandis qu’il se retourne vivement, glissant sur le liquide rouge au sol et tombant, ses fesses atterrissant dedans tandis que ses mains accompagnent le mouvement pour tenter d’amortir sa chute. Il couine doucement, soulevant lourdement ses bras pour regarder ses mains tandis que ses larmes viennent s’écraser sur le tissu du petit chemisier blanc, semblable à celui d’un poupon que sa tante vient de lui acheter pour son anniversaire. Il ne pense même plus à relever la tête pour découvrir à qui appartient cette main, il est perdu et vient de se faire mal alors il pleurniche doucement, frottant ses yeux avec ses mains pleines de sang tandis que son souffle se fait moins irrégulier. « Ne pleure pas Soen… » De fins doigts viennent caresser la joue de l’enfant d’un geste tendre et affectif. Des doigts qu’il reconnut beaucoup trop à son goût pour ne pas le laisser amer face à cette réalité. Devant lui vient s’afficher le visage de sa mère, ses lèvres ornées d’un fin sourire et pourtant un regard protecteur sur lui. Ses longs cheveux roux retombant sur ses épaules tandis que quelques mèches se perdent sur le visage de son fils au moment où ses lèvres viennent se poser avec douceur sur son front. Les mains tremblantes de l’enfant viennent alors s’agripper à ses vêtements, ses couinements s’échappant faiblement de ses lèvres tandis qu’en un instant, des tas de questions l’assomment. « Pourquoi n’a-t-elle rien ? » « Pourquoi ne paraît-elle pas un minimum attristée par cette vision du manoir entier venant d’être assassiné ? » « Où était-elle quand cela s’est produit ? » Le silence reprend, bien plus lourd, bien plus étouffant qu’avant, le souffle court de l’enfant venant inlassablement le troubler. La peur de la vérité, la peur de toutes ces questions qui se bousculent dans son esprit et cette sensation que cette femme la connaît déjà… le sentiment qu’elle ne connaît que trop cette angoisse qui le prend à la gorge, qu’elle sait qu’il ne veut pas concevoir la réalité. « Viens avec moi, Soen. » Souffla t’elle doucement à l’oreille de son fils qui s’exécuta quelques instants après sans savoir que celle-ci lui en avait intimé l’ordre. Sa voix semblait pourtant douce, elle semblait la même que celle qu’elle avait toujours eu à son égard et pourtant… quelque chose avait changé.
« Ce n’est qu’un enfant. »
Que font-ils ici ? Qu’attendent-ils depuis déjà des jours entiers ? Le visage enfoui dans la crinière rousse de sa mère, l’enfant dort et semble même refuser de se réveiller. Parfois, son nez se fronce et sa mâchoire se crispe faiblement tandis qu’il émet un léger gémissement. Finalement, il a abandonné… il a tout rejeté, il ne veut même plus songer au visage souriant de cette femme, de sa voix qui ne présentait aucun signe de tristesse et de son indifférence face à son propre mari et sa fille, la chair de sa chair, étalés sur le sol, baignant dans un marre de sang, une expression d’effroi et de terreur se lisant encore sur leurs traits figés dans cette abomination. Il est bien trop faible pour le supporter, il ne peut pas, il préfère renoncer et encore espérer pouvoir garder sa mère à ses côtés, bercé par ces songes naïfs et innocents. Ceux d’un enfant.
Un bruit de fracas vient le réveiller pourtant, sa mère ne semble même pas bouger, continuant ce lent mouvement de va-et-vient à le bercer tendrement dans ses bras. Il ne reconnaît pas la pièce dans laquelle ils sont, ils ont encore changés d’endroit et cette fois-ci, il sent que les réponses à ses questions ne vont pas tarder à être révélées. Il a peur et lorsqu’il entend la vieille porte en bois s’effondrer, il couine, plongeant son visage dans son cou. Des hommes crient, il ne comprend pas ce qu’ils disent et pourquoi sa mère ne bouge pas. Il préfère penser que ce n’est pas vrai, qu’il est juste en train de rêver, aussi s’accroche t’il plus fort encore à ses vêtements. Combien de temps s’écoule alors ? Il semble que la femme se lève, lui parle doucement à travers les vagissements des hommes qui les entourent. Il ne comprend pas tout, il arrive juste à percevoir quelques mots mais ne parvient pas à tout assimiler. Seule une phrase parvient à percer bien que le ton soit resté le même. « Tu vas aller avec eux. » Non, ça ne peut pas être vrai, tout ceci ne peut être réel, il est certainement en train de rêver. Oui, c’est sûr, cela est bien certain, il est enfermé dans un songe duquel il ne parvient à sortir. Il est prisonnier, il ne veut pas qu’on l’arrache des bras de sa mère, il ne veut pas qu’on lui prenne la main comme ça, il ne veut pas avoir à regarder le visage de ces hommes, leur expression qui ne peuvent être humaines tant elles sont malsaines. « Maman ! » Supplie alors l’enfant, se tournant vers le visage en larmes de cette femme qu’elle tente de cacher de ses mains. Elle semble leur parler, leur dire de faire attention à lui, de ne pas être trop dur, qu’elle ne veut pas que son fils soit trop malheureux. Elle semble parler de l’enfer, de Satan et de son destin… il ne comprend pas, néanmoins, il saisit où on l’amène. Lui qui a toujours vécu sur terre, qui n’a jamais été habitué à se servir de ses pouvoirs n’arrive pas à s’imaginer que maintenant, sa vie va changer, qu’il a tout perdu et qu’il ne retrouvera plus jamais le même bonheur là où il va, loin de sa mère et de son manoir… loin de tout. Il entend les pleurs de sa mère, ses supplications et la douleur dans sa voix qui ne parvient plus à être indifférente et les dernières paroles qu’elle prononce tandis qu’il s’éloigne irrémédiablement. « Faites attention, ce n’est qu’un enfant… »
Finalement, les années s’écoulent et défilent sans qu’il ne puisse rentrer chez lui ou revoir sa mère, si bien qu’il la croit morte depuis un moment déjà. Le jeune homme qu’il devient comprend que son destin a été de devenir un chien de garde de Satan, que son père avait toujours refusé qu’il parte en enfer mais sa mère, étant plus haut classé dans l’ordre hiérarchique démoniaque ne veut pas que son fils reste sur Terre et laisse les chiens de Satan reprendre l’un des leur qu’ils formeront avec beaucoup de patience et de travail.
Ces gardes du seigneur des enfers ne restant jamais les mêmes plus de cent ans, Soen peut repartir sur Terre à la recherche de sa mère. Malheureusement l’appréhension qu’il a eu s’est avérée vraie et sa mère s’est donné la mort peu après son départ. Ne sachant plus quoi faire et ne voulant pas repartir en enfer, il se passionne pour l’histoire et l’argent commençant à manquer, lui qui désire tant refaire entièrement le manoir de sa famille, décide de devenir professeur.




Moi :
Ton petit surnom ?Mph... .w.
Comment es tu arrivé chez nous ?Je cherchais un forum RPG pour faire vivre mon Soen. *w*
Ton expérience en Rp ? Mph... minime. Je ferais de mon mieux ! èwé
Que penses-tu du forum ? Très joulie. *-*
Et le petit code ? Codes validés par Yume ♫
Ton code couleur? Je sais pas... éwé
La provenance de ton vava'? Ikki d'Amnésia




Dernière édition par Soen Ishikawa le Ven 11 Mai - 15:46, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: Il inspire le calme, dit-on~    Il inspire le calme, dit-on~  Icon_minitimeMar 8 Mai - 16:23

Bienvenue !
Prof d'histoire... non, je crois que c'est libre.
Alors, le code est bon, je le valide
Sinon, fini vite ta prez ♫~
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MessageSujet: Re: Il inspire le calme, dit-on~    Il inspire le calme, dit-on~  Icon_minitimeMer 9 Mai - 11:20

Coucou & Bienvenue x)
Bonne continuation pour ta fiche et si tu as des questions, n'hésite pas à nous les poser ♥
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MessageSujet: Re: Il inspire le calme, dit-on~    Il inspire le calme, dit-on~  Icon_minitimeDim 10 Juin - 9:34

Hellow.
Nous te laissons une semaine pour finir ta présentation, sinon tu seras supprimé. Ce serait bête vu qu'il ne te reste que le physique. 'Fin voila.
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MessageSujet: Re: Il inspire le calme, dit-on~    Il inspire le calme, dit-on~  Icon_minitime

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